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Les services de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) ont procédé à l'interpellation de 118 personnes, dont 16 femmes et 12 mineurs, à travers le Royaume dans le cadre d’une vaste opération de lutte contre la triche lors des examens nationaux et régionaux du baccalauréat. Selon une source bien informée, certaines de ces opérations, liées aux examens organisés durant les périodes du 26 au 27 mai ainsi que du 29 mai au 2 juin 2025, ont été conduites en coordination avec les services de la Direction générale de la surveillance du territoire. Ces interventions ont abouti à l’arrestation des suspects en flagrant délit de détention et de diffusion d’équipements de communication sans fil destinés à être utilisés dans des actes de fraude, ainsi qu’à leur implication présumée dans des cas de triche, de fuite et de diffusion des sujets des examens sur les réseaux sociaux.
Les opérations de saisie et de fouille effectuées dans le cadre de ces affaires ont permis de confisquer un ensemble d’équipements électroniques utilisés pour faciliter la fraude. Il s’agit notamment de 98 téléphones portables, 87 mini-oreillettes, 641 batteries, en plus de sept ordinateurs portables et 28 dispositifs de connexion à internet.
Ces opérations sécuritaires intensifiées, précise la même source, s’inscrivent dans le cadre de l’engagement des services de la Direction générale de la Sûreté nationale à faire respecter les dispositions légales et réglementaires relatives à la lutte contre la triche, d’une part, et à contribuer à la création des conditions adéquates pour le bon déroulement des examens régionaux et nationaux unifiés du baccalauréat, d’autre part.
Le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports a, pour sa part, affirmé dans un communiqué que les épreuves de la session ordinaire de l’examen national unifié du baccalauréat se sont déroulées dans de bonnes conditions et une ambiance positive.
Le ministère a rappelé que, comme lors des années précédentes, les mesures relatives à la lutte contre la triche ont été mises en œuvre lors du déroulement des épreuves, ce qui a permis de détecter 2.769 cas de fraude, enregistrant ainsi une baisse de 12% par rapport à la session de 2024. Des procès-verbaux ont été dressés pour les cas détectés, lesquels seront soumis aux commissions régionales compétentes pour statuer et appliquer les sanctions disciplinaires prévues par la loi n° 02.13 relative à la lutte contre la fraude aux examens scolaires.
Les opérations de saisie et de fouille effectuées dans le cadre de ces affaires ont permis de confisquer un ensemble d’équipements électroniques utilisés pour faciliter la fraude. Il s’agit notamment de 98 téléphones portables, 87 mini-oreillettes, 641 batteries, en plus de sept ordinateurs portables et 28 dispositifs de connexion à internet.
Ces opérations sécuritaires intensifiées, précise la même source, s’inscrivent dans le cadre de l’engagement des services de la Direction générale de la Sûreté nationale à faire respecter les dispositions légales et réglementaires relatives à la lutte contre la triche, d’une part, et à contribuer à la création des conditions adéquates pour le bon déroulement des examens régionaux et nationaux unifiés du baccalauréat, d’autre part.
Le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports a, pour sa part, affirmé dans un communiqué que les épreuves de la session ordinaire de l’examen national unifié du baccalauréat se sont déroulées dans de bonnes conditions et une ambiance positive.
Le ministère a rappelé que, comme lors des années précédentes, les mesures relatives à la lutte contre la triche ont été mises en œuvre lors du déroulement des épreuves, ce qui a permis de détecter 2.769 cas de fraude, enregistrant ainsi une baisse de 12% par rapport à la session de 2024. Des procès-verbaux ont été dressés pour les cas détectés, lesquels seront soumis aux commissions régionales compétentes pour statuer et appliquer les sanctions disciplinaires prévues par la loi n° 02.13 relative à la lutte contre la fraude aux examens scolaires.
